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Pense-bête: à ton avis? (déjà 120!) / années folles d'AKELA (LETTRE DU STRATEGE) + + + +
Loki | #46 05/05/2023 - 13h47 |
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quand tu crois avoir connu les débuts du jeu de rôle ou pire quand tu les as réellement vécus, tu te prends un sacré coup sur la cafetière...
plus de 50 ans d'existence pour D&D ou ADD !
méfiez-vous de Loki d'or...
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Kino | #47 13/05/2023 - 14h28 |
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DD ou pire ADD c'est bien quand on début et qu'on a rien d'autre !
mais se contenter de ça franchement ! pour moi ça a toujours été de la daube. surtout de l'arnaque à pigeons prêts à acheter des tas de manuels à la con inutiles ! faut arrêter de prendre les gens pour des cons et les joueurs pour des vaches à lait !
Pas de signature.
allez si: Kino... ready ! (qui n'aurait dit ?) |
djinn | #48 18/05/2023 - 23h19 |
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Très content de voir des commentaires réalistes sur cette daube de DD ou ADD !
ce piège à cons et gogos. et la daube en plus au moins c'est bon. ce truc n'est pas bon du tout: on a du y jouer par défaut parce qu'il n'y avait que ça ! je suis heureux de n'avoir jamais participé en achetant le moindre livre ou la moindre boîte. quelle horreur et quelle erreur ça aurait été !
ce rêve bleu...
Aladin, ala2, ala3 ! viens frotter ma lampe magique (et fais 3 voeux: ils seront exaucés par mon exocet !) #DeleteFacebook |
Zathras | #49 20/05/2023 - 09h54 |
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on a ouvert la boîte de Pandore pour ceux qui n'adorent pas et ne sont pas en adoration devant Gygax: tel est mon cas.
Zathras ? ça trace ! Laisse des traces... #DeleteFacebook
B5 |
djinn | #50 25/07/2023 - 14h46 |
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Gary Gygax, inventeur revendiqué de D&D (1938-2008)
Donjons & Dragons, la saga d’un jeu (Demain: La face sombre de GG, et le véritable inventeur de D&D spolié 2 fois par lui !) Le premier jeu de rôle a été créé au début des années 1970, dans un coin perdu du Winsconsin, par un passionné de « wargames », féru de science-fiction et d’heroic fantasy Dans la très disputée saga du jeu, c’est Gary Gygax qu’on a le plus souvent qualifié de démiurge. Gary Gygax a vécu presque toute sa vie dans le Wisconsin, à l’exception de sa prime enfance et de quelques années passées à Los Angeles, au début des années 1980. Si ses fans se réunissent ici, c’est pour célébrer son souvenir – un autel lui est dédié à une table d’honneur –, tout en s’adonnant à son invention : le jeu de rôle sur table (tabletop roleplaying, en anglais). Cinquante ans après sa création, ce hobby résiste quelque peu à une définition universelle et univoque. Et, surtout, concise. Disons que, dans une partie de jeu de rôle, un ou plusieurs joueurs, parfois déguisés, incarnent des personnages qui vivent ensemble une aventure racontée par un autre joueur, le meneur ou la meneuse de jeu. A l’origine, ce que les joueurs explorent dans Donjons & Dragons, ce sont des… donjons où ils affrontent parfois des dragons. CQFD. Elise Gygax, âgée de 9 ans, aurait choisi ce titre parmi une liste dressée par son père, amateur d’esperluettes comme nombre de joueurs à cette époque – il fréquente, par exemple, le groupe Castles & Crusades. Le scénario de base de D&D, appelé «dungeon crawling » par les fans, consiste à piller les trésors cachés d’un labyrinthe en massacrant les monstres qui le peuplent – et inversement. Comme au théâtre d’impro, l’action évolue en fonction des choix des participants et le dénouement, réussite ou échec, est parfois déterminé par des lancers de dés. Créé par Gary Gygax dans le très modeste sous-sol de sa petite maison de Lake Geneva, D&D est le premier des jeux de rôle, premier historiquement mais également en parts de marché. Selon son éditeur actuel, c’est un phénomène culturel qui a ravi 50 millions de fans en cinquante ans d’existence. Le compte est bon Donné pour mort au début des années 2000, D&D (à prononcer « Dihandi » en VO, ou « Donje » en VF) connaît un retour de flamme inattendu depuis une dizaine d’années. Cette résurgence doit beaucoup à l’influence des retransmissions de parties sur Twitch, ce qu’on appelle les «actual plays », dont le plus célèbre est Critical Role. Chacun peut assister là aux campagnes de D&D jouées avec brio par des acteurs certes moins célèbres que Joe Manganiello, mais tout aussi doués en affaires. Amazon Prime vient de leur offrir un pont d’or. Surtout, ce regain bénéficie de l’incroyable publicité gratuite faite au jeu par la série Stranger Things, visible sur Netflix depuis 2016. (perso jamais vu et pas envie de voir) Tous les abonnés de la plate-forme, ou presque, connaissent désormais les monstres Vecna et le Demogorgon. En avril, le film Donjons & Dragons. L’honneur des voleurs est sorti sur les écrans avec un budget de blockbuster, un projet que Gygax lui-même n’avait pas réussi à mener à bien au début des années 1980, à l’âge d’or du jeu Il faut un génie pour rendre palpitante l’histoire d’une invention et celle de D&D ne déroge pas à la règle. Dans la très disputée saga du jeu, c’est Gary Gygax qu’on a le plus souvent qualifié de démiurge. Peu connu du grand public, il a été crédité d’une influence équivalente à celles d’un George Lucas, producteur de la saga Star Wars, ou d’un Stan Lee, un des fondateurs des comics Marvel. A sa mort, le magazine américain Wired l’a intronisé « grand-père des geeks ». D’origine helvète par son père, d’où ce patronyme en « ax », orphelin de ce dernier au sortir de l’adolescence, élève très moyen, un temps cordonnier, Gygax a achevé sa vie dans des conditions plutôt modestes. Mais qu’a-t-il donc inventé pour mériter tant de révérence – et ne pas finir riche ? C’est quand on essaie de répondre avec précision à cette question dans l’effervescence des multiples tables de jeu du Gary Con que les choses se compliquent. La découverte, dans les collections du British Museum de Londres, d’un dé polyédrique à vingt faces, daté de l’époque romaine, l’a incité à éclaircir la genèse des jeux de rôle. Le dé à vingt faces est le dé iconique de Donjons & Dragons. Rarissime sur le marché lors de la création du jeu, Gary Gygax le chérit, car il équilibre les probabilités d’obtenir une valeur. Gary Gygax, à la fin des années 1960. Père de cinq enfants, il peut alors passer des heures sans sa femme, mètre en main, à calculer la vitesse de déplacement de petits soldats sur des reliefs modelés avec du sable. Les résultats de jets de dés comparés à des tableaux de probabilités n’ont pas de secret pour lui quand il s’agit de déterminer les dégâts infligés par une volée d’artillerie. Il s’impose comme une figure parmi les wargamers, dans le Midwest du moins, au point d’organiser, en 1968, une première convention dans le cadre bucolique du hall horticole de Lake Geneva, à deux pas de son domicile – il ne conduit pas, ceci explique cela. C’est la Gencon, donc. Comme nombre de ses pairs, Gygax est un passionné de littérature médiévale-fantastique et de science-fiction, avec une prédilection pour Conan, le viril barbare créé par Robert Howard dans les années 1930. C’est pour concilier ses deux passions qu’il a l’idée de jouer à un wargame dans un univers où s’affrontent des orcs et des nains. Avec cette version, il espère recruter de nouveaux adeptes parmi la masse, plus pacifiste, des amateurs de littérature. Un vivier existe. En Californie, des milliers d’originaux se réunissent, chaque année, depuis 1966, pour vivre dans un Moyen Age idéalisé, avec guéguerre en costumes d’époque et fausses armes. Le jeu que crée Gygax pour allier univers fantastique et rigueur militaire s’intitule Chainmail (« cotte de mailles »). Il est écrit avec un autre wargamer, Jeff Perren. Publié pour la première fois en 1971, il s’en vend des centaines d’exemplaires, soit l’équivalent d’un prix Goncourt à l’échelle de ce hobby. Certains puristes tordent le nez devant l’arrivée de dragons à leur table. Mais d’autres, plus nombreux, sont conquis et ils vont s’en servir pour aller plus loin. Cinquante ans plus tard, les adorateurs de Gygax, eux, considèrent Chainmail comme l’origine de Donjons & Dragons et vouent à son coauteur un culte fervent. Extraits d'un article du journal Le Monde du jour, page 22.
ce rêve bleu...
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Jessie | #51 26/07/2023 - 12h33 |
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Comme disait Merlin discrétement avec raison: c'est Dave et non Gary l'auteur réel !
Le pire étant que celui à l'origine des règles voulait s'en affranchir ! L'autre étant farouchement pro système sinon y'a plus rien à vendre... Donc bien fait si Gygax a terminé sans argent. La matérialiste puni justement. L'autre doit en avoir en ayant sacrifié à la postérité et paternité. Fou ça ! Les 200 akéliens ayant participé à NPAI sont sans le savoir pro Dave et anti Gary ! Car nous jouons sur le système créé en 1980 par KHM, alors hyper simplifié. Qui est la base commune d'absolument tous ses jeux. En jouant avec le créateur ou auteur comme meneur de jeu, on se libère des règles: Puisque lui les connaissant par coeur, ça simplifie et accélère encore plus les choses. Ce qui fait que toute partie s'effectue au moins à 90% de roleplay et moins de 10% en règles.
Le seul intérêt du système en JDR est le système des XP afin de faire évoluer donc garder son personnage et il a été inventé par le vrai créateur pas par Gygax ! Désolée.
jessie bien réussie! #DeleteFacebook
Responsable rubrique Jeux. #JeSuisOslo Zorgonienne dans l'âme. Faut pas prendre la Jessie pour une lanterne ! (je suis allumée, j'allume, mais pas une raison) |
djinn | #52 26/07/2023 - 22h11 |
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L’autre héraut de D&D vite écarté. ("la face sombre de Gary Gygax")
La création du premier jeu de rôle n’est pas l’affaire du seul Gary Gygax, qui a essayé de le faire croire ; Dave Arneson en a également revendiqué la paternité, et la querelle a été forte. Autour de la table, en cette soirée de novembre 1972, sont conviés Gary Gygax, son fils Ernie, son presque fils adoptif Rob Kuntz et le frère de ce dernier, Ted. En termes du XXIe siècle, tous seraient qualifiés de bêtatesteurs. L’histoire veut que Gygax père ait joué un magicien et que l’aventure ait débuté dans une auberge qu’un sort empêchait les joueurs de quitter – un scénario précurseur des escape games modernes, en quelque sorte. Dave Arneson tient lieu de meneur de jeu, on parlait alors d’arbitre, un terme emprunté au wargame, et Dave Megarry se serait dévoué pour aider les joueurs à se familiariser avec ce jeu étrange dans lequel chacun interprète un personnage. Il est dit que, au cours de la partie, leur groupe a affronté tout un tas de monstres, dont un balrog tout droit sorti des mines de la Moria de l’écrivain britannique J. R. R. Tolkien. A la fin, Gygax était emballé. Mais aussi ivre de jalousie... Dave Arneson (1947-2008) est alors étudiant en histoire, un peu enrobé et timide, tout le contraire du très exubérant et autoritaire Gary Gygax. Il peut citer le tonnage du moindre bateau ayant participé à la guerre de Sécession mais il vit encore chez ses parents. Le jeu qu’il a inventé avec ses amis se déroule dans le monde imaginaire de Blackmoor, au pied d’un château avec oubliettes et donjon. Les parties prennent la forme d’un dialogue constant entre un arbitre et des joueurs explorant un labyrinthe peuplé de monstres et recelant des trésors. Les joueurs se mettent dans la peau de guerriers ou de magiciens. L’arbitre, lui, interprète tous les protagonistes qui apparaissent en cours de partie. Blackmoor dérive d’un jeu plus ancien inventé par un troisième Dave, Wesely. Il est luimême le lointain héritier du jeu de plateau Diplomacy, publié en 1959. Arneson décide que les joueurs peuvent incarner le même personnage d’une partie à l’autre et qu’il n’y aura ni gagnant ni perdant à la fin, Blackmoor reposant sur la coopération entre joueurs. En ce sens, il contrevient à la théorie de l’historien néerlandais Johan Huizinga, qui, dans Homo ludens (Gallimard, 1938), place l’agôn, la compétition, au cœur de toute activité ludique. Arneson et Gygax ont fait connaissance quelques mois avant la virée de l’automne 1972. Ils ont rédigé ensemble un wargame naval, source d’un premier contentieux lié à des royalties non acquittées au premier. Gygax dira après coup qu’il a pu mesurer à quel point son coauteur était un esprit novateur mais brouillon, incapable de finaliser un système de jeu commercialisable. Arneson, lui, invoque un manque de temps pour professionnaliser seul son invention. Et son entourage se charge d’admettre à sa place qu’il ne sait pas taper à la machine à écrire. Il s’en remet donc à Gygax, qui, en dépit de son activité de cordonnier, trouve le temps nécessaire. Il a l’esprit d’entreprise, ses fins de mois sont difficiles, la famille dépend de l’aide alimentaire. L’espoir l’habite que ce jeu puisse se vendre au-delà du cercle limité des wargamers grâce à ses références médiévales fantastiques. Le succès d’un précédent jeu, Chainmail, qu’il a créé en 1971 avec Jeff Perren et dans lequel s’affrontent des armées d’elfes et de trolls, l’a renforcé dans cette intuition. En novembre 1972, Arneson transmet à Gygax dix-huit feuillets manuscrits avec ses notes de jeu. Quand ses joueurs optent pour le combat, il s’appuie sur Chainmail, il ne s’est jamais caché de cet emprunt. Mais il s’affranchit volontiers des règles si leur application par trop rigoureuse menace de gâcher la partie. Il préfère se concentrer sur l’interprétation des personnages, une pente que Gygax réprouve. « Si j’avais voulu me lancer là-dedans, je me serais inscrit à un club de théâtre », confiera-t-il dans une interview fleuve accordée à un journaliste italien en 2002. Le schisme originel est en place. L’opposition entre Gygax et Arneson n’est pas si tranchée dans les faits, mais leurs fans la cultivent depuis cinquante ans. Leur monde se divise en deux clans. D’un côté, les « arnesoniens », qui apprécient l’extraordinaire liberté du jeu de rôle, quitte à se passer de toute règle. De l’autre, les « gygaxiens », qui réclament de la cohérence et des règles stables pour simuler des situations de jeu. En échangeant à distance, les deux créateurs de D&D parviennent à formaliser le jeu. Quels que soient leurs différends théoriques, une chose transparaît à la lecture des règles originelles, consultables sur Internet : la première mouture n’est intelligible que par des initiés, il n’y a pas la moindre trace de pédagogie dans les livrets. Pis, les règles sont même un véritable foutoir. Arneson n’est peut-être pas un esprit structuré, mais Gygax ne se révèle pas le concepteur de jeu que sa lé- gende a voulu établir. Détail piquant : jouer à D&D requiert de posséder d’autres jeux. Il faut disposer du matériel du jeu Outdoor Survival, publié par Avalon Hill, et de Chainmail. Gygax s’appuiera sur ce point jusqu’à sa mort pour revendiquer une paternité du jeu supérieure à celle de son coauteur. Cette incomplétude des règles et du matériel de jeu est revendiquée dans l’avant-propos signé par lui et daté de novembre 1973. D&D est présenté comme un kit à partir duquel l’acheteur doit construire son propre jeu. C’est une intuition géniale, même si peu maîtrisée. A ce stade, la notion de propriété intellectuelle est encore loin des préoccupations des auteurs. Le succès venant, la situation – ô surprise – évolue. Puisque ce concept de jeu si flou n’a pas convaincu les très cartésiens éditeurs spécialisés de wargames, Gary Gygax fonde l’entreprise TSR pour commercialiser D&D. Première entorse à leur entente : il ne propose pas à Arneson d’entrer au capital. Il dira plus tard qu’à aucun moment cette possibilité n’a été envisagée, tant son coauteur montrait peu d’appétence pour les affaires. Dave Arneson ne contestera jamais ce point. Les deux hommes s’accordent pour qu’il rejoigne la compagnie dès qu’elle dégagera assez de bénéfices pour le salarier. Gygax promet aussi de publier Dungeon, le jeu de plateau de l’autre Dave, Megarry, sitôt que TSR aura les fonds nécessaires. C’est alors une perspective assez chimérique. Mais des démonstrations réussies lors du Gen Con 1974 et le bouche-à-oreille lancent le jeu. Contre toute attente, les ventes de D&D décollent. Le premier tirage de mille exemplaires s’écoule en quelques mois, à 10 dollars pièce (l’équivalent de 70 dollars d’aujourd’hui, soit 64 euros). Plusieurs tirages plus importants suivent. Et ce qui paraissait une douce lubie se concrétise fin 1975-début 1976, quand Gygax est en mesure de proposer un contrat de directeur créatif à Arneson. On pourrait croire à l’apothéose de leur relation, mais les négociations sont laborieuses, très laborieuses même, si l’on en croit le récit qu’en fait Jon Peterson dans Game Wizards (MIT Press, 2022, non traduit). L’aventure d’Arneson à TSR tourne court. Moins d’un an après son installation à Lake Geneva, il quitte l’entreprise fin 1976. Il n’a pas trouvé sa place, disent ses partisans ; il a touché ses limites, persiflent les autres. Et à partir de là, la situation dégénère. Fini la douce émulation intellectuelle. Les deux créateurs ne se parlent plus que par avocats interposés. L’abcès éclate en 1977 quand, soucieux d’asseoir son autorité sur le jeu et de réduire au passage les droits d’auteur exigibles par Arneson, Gygax a l’idée d’écrire une version avancée des règles, qu’il présente comme un jeu nouveau sur lequel son coauteur ne figure pas et ne touche donc pas un centime. TSR pense tenir une ligne de défense infranchissable. Mais, tout aussi amateur de wargames que son ex-compère, Arneson va réussir à l’enfoncer. Après des années de contentieux, les deux parties arrivent à un règlement financier en 1982. Qui dit transaction dit compromis. Et qui dit compromis dit que personne ne sort pleinement satisfait de ce cycle judiciaire. Mais Gygax obtient avec cet accord la possibilité de publier les nouvelles versions et rééditions du jeu sans plus jamais mentionner Arneson – ce qui n’a pas de prix à ses yeux. Arneson, lui, a gagné un chèque à sept zéros dans l’affaire, mais il entame un périple dans les oubliettes de l’histoire. Extraits d'un article du journal Le Monde du jour.
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Sefero | #53 27/07/2023 - 13h24 |
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TSR c'est vraiment le matérialisme et consumérisme incarné donc le mal !
déjà spoliation du véritable créateur de DD en créant ADD sans le citer et sans lui verser quoi que ce soit. ensuite en 77 une nouvelle règle plus compréhensible... et une édition en livre plutôt qu'en jeu pour se goinfrer sur la différence de TVA qui est réduite et 15% moins élevée sur les livres que sur les jeux ! c'est quand même le jeu le plus "vente à la découpe" au monde et de l'histoire une collection hallucinante de manuels où tout a été fait comme jamais et nulle part ailleurs pour faire du soi disant luxe ou luxueux et un prix en rapport ! plus attrape nigauds gogos et pigeons tu meurs ! TSR pour Tant de Sous Récupérés ? il doit y avoir mieux... Sans compter les droits en film avec marchandising étoffant et étouffant une gamme déjà pléthorique... je visionne bien de suite le débile MD à casquette TSR et mugTSR stylo et bloc notes TSR écran TSR officiel lui aussi, dés TSR, figurines TSR Poussant sur le côté les romans ADD appelés littérature et compulsant en mode compulsif tous ses manuels dans lesquels il se perd comme son argent qu'il ne reverra jamais. Et pour couronner le tout Strange thing sou je sais trop quoi là chez les rois de la SVOD ! hé les oies gavés elles crèvent et on leur bouffe le foie trop gras ma foi ! jamais je n'aurais foi dans un truc pareil. JAMAIS. tsr tsssss...
Sefero, ce soldat! ma meuf? la marseillaise...
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Rock | #54 28/07/2023 - 12h28 |
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Moi ce qui m'a fait marrer c'est que GG a été viré de TSR puis s'est payé toute une suite de procès de leur part !
et qu'enfin TSR a disparu. Entretemps est arrivée la fameuse et fumeuse 2de édition d’Advanced Dungeons & Dragons (Quand Akéla est né d'ailleurs... à la fin des années 80) Sans le nom de Gary Gygax ! Il a été puni par où il a pêché et il lui est arrivé la même chose que ce qu'il a fait subir au vrai père de DD c'est à dire Dave Arneson. Et en France la propagande pro Gygax vient simplement du fait que le fondateur du magazine Casus Belli est un ex adjoint de Gygax ! Du coup le nom prête à rire... Casus Belli c'est tout la vie de Gary ! de lui puis contre lui. alors le "RIP" du titre d'un des sujets consacrés au sacré con: xptdr ! il repose enfin en paix lui qui aura fait la guerre toute sa vie ! Il ne resta guère de Gygax par rapport à celui de naguère quand il disparu excepté des mémoires... (sa veuve relançant la marque TSR pour faire persister la légende de son mari: Gygax magazine ! Ridicule.) Gygax si nul qu'il ne contrôlait pas ses sociétés et menait une vie de patachon alors que déjà TSR coulait et virait des gens... la "fabrique de rêve" devint un véritable cauchemar pour lui.
tel un orc? tel un roc! et j'ai les crocs.
"Tu es un roc et sur ce roc... Je construirai une piste de glisse !" euh... J'aime le rock fort d'abord. #DeleteFacebook |
zig otto | #55 29/07/2023 - 02h19 |
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déconstruction méritée d'un mythe !
Gygax c'était un compte pour enfants: des sous et les dessous sont pas jolis jolis.
Vous voulez un Otto graphe ? !
(avatar made in Akela sous copyright: exclusif) ex pseudos akéla: Octo, Octo+, Toto... |
Myeou | #56 29/07/2023 - 14h44 |
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L'autre trahison est récente et date de cette année.
L'esprit consumériste matérialiste fort justement dépeint du faux créateur et auteur pas à la hauteur: Eh bien il persiste ! WOTC veut révoquer OGL. là vous vous dites: Mais qu'est ce qu'elle nous raconte avec ce charabia ? ! l'éditeur actuel de DD ADD etc est Wizards Of The Coast genre les frères de la côte façon donc confrérie de flibustiers et de boucaniers sur l'Île de la Tortue et le tort tue ! qui veulent remettre en cause la licence libre donc gratuite qui autorise les contenus depuis 23 ans ! donc pour vider DD de toutes les créations des joueurs. on repart en mode suicide ou kamikaze comme parfaitement résumé sur G.G. à trop en vouloir on perd tout ! Alors que le droit impose que cette licence reste perpétuelle et ne puisse être remise en question ! Tant que tu respectes les conditions, rien ne peut être dit ni fait contre ça. Mais le PDG a du reconnaître son erreur et reculer sur cette décision inique et unique. Alors qu'il perçoit de substantiels droits par les films et les saisons de la série en SVOD ! l'indécence sans limites... Car qui est la maison mère sinon Hasbro ? ! 1,3 milliards gagnés au dernier exercice récent connu ! ça venant après la polémique sexiste et sans doute raciste avec ses races ou colonialiste ? ! je ne sais pas trop... je trouve qu'au contraire alors qu'il n'existe qu'une seule race cad la race humaine: Là dans ce genre médiéval fantastique on peut assumer sa race et ses caractéristiques, particularités et différences. en face les défenseurs osent quand même parler de jeu libertaire ! consistant à, faut s'accrocher, chasser le seigneur de son donjon ! Mais où ils ont pu voir un truc pareil ? ! Paraitrait qu'aucun autre jeu ne serait parvenu à le supplanter... Quand comme moi on y a jamais joué et qu'on ne connait pas de joueurs à ça ! ça me fait un peu rire en douce. Mais je ne suis que femme et joueuse donc mon avis pour eux ne doit pas compter ! Tant qu'ils y croient et surtout que ça leur a rapporté des centaines de millions...
SuperVic...seuse des thèmes. #JeSuisLaïka
Merci Mow: avatar géant ! #DeleteFacebook |
Rock | #57 07/08/2023 - 11h27 |
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Dites donc il s'en prend pour son grade le Gary ! Quand la vérité sort et devient connue, le roi est nu car ça fait très mal de savoir qu'il est le mal !
Plus dure sera la chute... Donc Gygax s'est pris pour Majax mais au lieu d'un magicien, le charme est rompu, c'était pour le magot ! c'est un illusionniste et en réalité un voleur. question parler en personnages et métiers de jeu de rôle...
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Dom | #58 23/08/2023 - 15h43 |
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le personnage préféré de Gary semble avoir été le voleur !
par contre en race on confirme l'humain pour avoir été ainsi... (oui je sais tentant de dire "nain pour avoir été aussi bas" !) \o/
Co-sysad & SysArt-chef (rédacteurs ARTicles)
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Laclim | #59 30/08/2023 - 20h40 |
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le donjon assiégé on se rend compte soudain que le dragon volait mais pas dans le sens qu'on croyait et que ça ne volait pas très haut mais très bas...
tout un symbole. vrai que cet animal trop matérialiste adore l'or !
Et voilà: Laclim a teasé ! \o/
Homme à fable et ne manquant pas d'air! #DeleteFacebook |
ours | #60 13/09/2023 - 23h27 |
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en fait GG est le premier gros bill de l'histoire du jdr: "moi vois moi prend, vole, tue..."
son perso c'est pas magicien mais voleur ! on comprend mieux soudain la trilogie "salle monstre trésor" c'est que la vie réelle en fait !
Ours bien ou mal léché ? ça pendra et dépendra !
#JeSuisMila |
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