3615 Akela
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Pense-bête: à ton avis? (déjà 120!) / années folles d'AKELA (LETTRE DU STRATEGE) + + + +
Marg | #16 19/01/2008 - 18h49 |
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Les éléphants: (contes barbares) par Leconte De Lisle
Le sable rouge est comme une mer sans limite, Et qui flambe, muette, affaissée en son lit. Une ondulation immobile remplit L'horizon aux vapeurs de cuivre où l'homme habite. Nulle vie et nul bruit. Tous les lions repus Dorment au fond de l'antre éloigné de cent lieues; Et la girafe boit dans les fontaines bleues, Là-bas, sous les dattiers des panthères connus. Pas un oiseau ne passe en fouettant de son aile L'air épais ou circule un immense soleil. Parfois quelque boa, chauffé dans son sommeil, Fait onduler son dos où l'écaille étincelle. Tel l'espace enflammé brûlé sous les cieux clairs, Mais, tandis que tout dort aux mornes solitudes, Les éléphants rugueux, voyageurs lents et rudes, Vont au pays natal à travers les déserts. D'un point de l'horizon, comme des masses brunes, Ils viennent, soulevant la poussière, et l'on voit, Pour ne point dévier du chemin le plus droit, Sous leur pied large et sur crouler au loin les dunes. Celui qui tient la tête est un vieux chef. Son corps Est gercé comme un tronc que le temps ronge et mine; Sa tête est comme un roc et l'arc de son échine Se voûte puissamment à ses moindres efforts. Sans ralentir jamais et sans hâter sa marche, Il guide au but certain ses compagnons poudreux Et, creusant par derrière un sillon sablonneux, Les pèlerins massifs suivent leur patriarche. L'oreille en éventail, la trompe entre les dents, Ils cheminent, l'oeil clos. Leur ventre bat et fume, Et leur sueur dans l'air embrasé monte en brume, Et bourdonnent autour mille insectes ardents. Mais qu'importent la soif et la mouche vorace, Et le soleil cuisant leur dos noir et plissé? Ils rêvent en marchant du pays délaissé, Des forêts de figuiers où s'abrita leur race. Ils reverront le fleuve échappé des grands monts, Ou nage en mugissant l'hippopotame énorme, Où, blanchis par la lune et projetant leur forme, Ils descendaient pour boire en écrasant les joncs. Aussi, pleins de courage et de lenteur, ils passent Comme une ligne noire, au sable illimité; Et le désert reprend son immobilité Quand les lourds voyageurs à l'horizon s'effacent.
Marg'* hérite de la lourde tâche de "sysanim-chef"...
Donc tous les sysanims sont sous la Marg'houlette ! *Un.e Ancien.ne d'Akela!(signature rédigée par Mow' ) |
Marg | #17 19/01/2008 - 18h55 |
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Les Chats:
Les amoureux fervents et les savants austères Aiment également, dans leur mûre saison, Les chats puissants et doux, orgueil de la maison, Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires Amis de la science et de la volupté Ils cherchent le silence et l'horreur des ténèbres; L'Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres, S'ils pouvaient au servage incliner leur fierté. Ils prennent en songeant les nobles attitudes Des grands sphinx allongés au fond des solitudes, Qui semblent s'endormir dans un rêve sans fin; Leurs reins féconds sont plein d'étincelles magiques Et des parcelles d'or, ainsi qu'un sable fin, Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques. Le Chat (1) Dans ma cervelle se promène, Ainsi qu'en son appartement, Un beau chat, fort doux et charmant. Quand il miaule, on l'entend à peine, Tant son timbre est tendre et discret; Mais que sa voix s'apaise ou gronde, Elle est toujours riche et profonde. C'est là son charme et son secret. Cette voix qui perle et qui filtre, Dans mon fonds le plus ténébreux, Me remplit comme un vers nombreux Et me réjouit comme un philtre. Elle endort les plus cruels maux Et contient toutes les extases; Pour dire les plus longues phrases, Elle n'a plus besoin de mots. Non, il n'est pas d'archet qui morde Sur mon coeur, parfait instrument, Et fasse plus royalement Chanter sa plus vibrante corde, Que ta voix, chat mystérieux, Chat séraphique, chat étrange, En qui tout est, comme en un ange, Aussi subtil qu'harmonieux! Le Chat (2) De sa fourrure blonde et brune Sort un parfum si doux, qu'un soir J'en fus embaumé, pour l'avoir Caressé une fois, rien qu'une. C'est l'esprit familier du lieu; Il juge, il préside, il inspire Toutes choses dans son empire; Peut-être est-il fée, est-il dieu? Quand mes yeux vers ce chat que j'aime Tirés comme par un aimant, Se retournent docilement Et que je regarde en moi-même, Je vois avec étonnement Le feu de ses prunelles pâles, Clairs fanaux, vivantes opales, Qui me contemplent fixement. Le Chat (3) Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux; Retiens les griffes de ta patte, Et laisse moi plonger dans tes beaux yeux, Mêlés de métal et d'agate. Lorsque mes doigts caressent à loisir Ta tête et ton dos élastique, Et que ma main s'enivre du plaisir De palper ton corps électrique, Je vois ma femme en esprit. Son regard, Comme le tien, aimable bête Profond et froid, coupe et fend comme un dard, Et des pieds jusques à la tête, Un air subtil, un dangereux parfum, Nagent autour de son corps brun. (Charles Baudelaire: Les fleurs du mal)
Marg'* hérite de la lourde tâche de "sysanim-chef"...
Donc tous les sysanims sont sous la Marg'houlette ! *Un.e Ancien.ne d'Akela!(signature rédigée par Mow' ) |
Marg | #18 19/01/2008 - 19h02 |
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Akhenaton:
Le drap de la nuit recouvre la ville millénaire Une atmosphère, la vigilance est nécessaire Des millions d'histoires, en voici une parmi tant d'autres Chaque minute désormais te seras conté Tard le soir dans les rues du centre de Mars Le Livre De La Jungle est ouvert Que commence la chasse Sans pitié sans remord sans regret Sans même sourciller des enfants s'apprêtent A faire une arrachée Une femme noire fait le trottoir assise sur un mur Quel avenir, ça semble dur Sûr, je suis fatigué de voir, de croire Avoir de l'espoir me paraît dérisoire Dégoûté, la situation pourri me nuit pas La volonté de m'en tirer fait que je suis là Mais ceux qui n'ont pas eu ma chance On en parlaient dévalent, s'étalent Tout au fond, tout au fond de la spirale Dans des sifflets sournois, des serpents Du Livre De La Jungle que tu découvres à tes dépends Dans la jungle urbaine y a de droles de spécimens Des animaux crapuleux, c'est pas la peine Il y a des renards croisés avec des fennecs Des rats d'égout, des hyènes Des chacals, des loups et des chiennes Des rapaces charognards, des vautours, les serpents Toute la gamme affâmée des insectes rampants Et qui vont se dissimuler en des animaux sympathiques Pour ensuite se révèler être de violents parasites Ce ne sont pas toujours ce que l'on croit Des mauvaises bêtes qui sont les pires Echangent tous les jours de tête Beaucoup de choses me saoûl et me gavent grave Les caves bavent sur des bases naves Mais je fais table-rase Ils ont voulus me faire passer pour un violeur, un tueur Une menace venue de la planète meurtre Pour terroriser la France avec mon micro illégitime Un rimeur à gage dans la lignée de Mesrine Si je les avait laissé parler il auraient suggérés De m'incarcérer pour avoir dis la vérité Mais je suis assez malin La seule peine dont je suis passible J'ai pris des crétins et les ait buté comme des cibles Pour toujours parler des tours, je le trouve lourd Qu'il ne vienne pas me donner de conseil En ce qui concerne l'amour La choses est classée par sa catégorie à moi C'est que lui fini de baiser sa femme avec le petit doigt Bien éduqué je suis un ritale et fière Pas comme lui qui a trahi sa race à coups de billets verts Je n'ais pas oublié, je garde le goût amers Du temps où les français voulaient nous balançer à la mer Tout en restant certe lucide et humble Je viens directement tiré du Livre De La Jungle Je ne suis pas anti-français Mais contre la jungle franchouillarde qui Nous ressasse ses traditions de druides et De bardes, lieux de fond Et une nation qui fait bloc dénunie Elle a la capacité d'intégrer toutes ses éthnies La connerie n'a pas d'yeux, elle contamine toutes les races Presque toutes les couleurs et toutes les classes D'un autre côté certains s'y exposent plus A-R-T-N-O, un autre point de vue (.../...)
Marg'* hérite de la lourde tâche de "sysanim-chef"...
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Marg | #19 19/01/2008 - 19h03 |
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Art No
Tourne la platine accompagnant le 107 Le saphir en T double sens va bientôt gratter le microsillon Sur lesquels mes mots viennent et vont Ainsi font, en guise d'introduction Les rappers blasés qui s'acharnent à rester dans le ton Mais moi je m'en moque, étant libre je compose en paix Dans l'état d'esprit ? Des wanna-be me demandent pourquoi je rappe Ne m'inspirant d'aucun son puisque j'écris dans le silence Bel et bien est-ce que tu mesures maintenant l'importance De celui là même qui regarde le monde libre et seul pose un poème Nos thèmes écartent spontanement de tous stéréotype fréquent Depuis que les médias façonnent l'archétype du jeune en colère Qui construit ses vers, et dont les paroles témoigne Simplement d'un malaise social disent-ils Mais quand ils se seront noyés dans leur bêtise J'ajouterai un chapitre décisif à leur analyse Tourne, tourne ces pages que je ne les découpent Afin qu'ils ne figurent plus jamais dans le grand livre Akhenaton Livre De La Jungle page 7, verset 3 De nouveaux poètes transforment et révolutionnent la Philosophie conceptuelle impériale des hommes Dans la sphère rouge est l'oppidum Comme dans Rome, pom, les ânes j'assomme et donne Un coup de dum-dum, les idiots bad boy pom-pom Donc, paix sur ceux qui aiment danser et vivre Qui tiennent dans leur coeur toutes les pages du livre Depuis des mois, l'info se focalise vite sur les banlieues Les problèmes des gens qui y habitent mais A les entendre les ennuis sont réçents Et les cités étaient tranquilles il y a un an La banlieue, la banlieue, ma main est sur la banlieue Les fafs sont heureux, tous ce bruit fait leur jeu Au lieu de dépenser des péllicules donnez nous l'argent Qu'on puisse enfin construire quelque chose de plus intéressant Plus tard on va nous dire qu'on a pas de solution? Shurik'n Que notre musique est le reflet d'un mal de vivre Akhenaton Eric, ai-je mal? non Merci j'ai eu peur, je veille sur mon état Gardez vos éducateurs Stoppez les clichés du genre idées toutes faites Casquette, baskets, pas grand chose dans la tête Je m'avise, expertise leur hantise, dramatise la crise Je n'ai pas besoin de psychanalyse Fanatisent, rebatisent nos entreprises Les animalisent mais mmmh je me fais une bise Pourquoi? Prévoyant malgré tous ça J'ai gardé beaucoup de lucidité, un brin d'animosité Si le livre était béni, l'égalité est là On viens des pages que les gens ne regardaient pas Avant tous ce qui se passais Les évènements qui auraient dûs être prévus depuis au moins 10 ans Mais l'existenciel poète urbain part à l'arrachure Chevaucher le rythme comme une araignée pourrais Galloper sur le mur c'est sûr Et riches et pauvres reveillez vous Aveugles nous sommes Tous prisonniers du Livre De La Jungle...
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Marg | #20 19/01/2008 - 19h08 |
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Le vieux lion: (par: Marcel F-M.)
À l?écart, dans la jungle, hier encore invaincu, Pensif et solitaire, le vieux lion s?est tu. Ce soir, il ne sait pas. Ce soir, il ne sait plus. Il se sent fatigué. Il a l?air d?un vaincu. Il se souvient du temps des soirs de longues lunes, Où la nuit résonnait de ses rugissements. Il régnait en monarque. Tous vivaient sous ses lois. Il était respecté, Il était le seul Roi. Mais ce soir la savane est pleine de rumeurs. La forêt est inquiète. Les animaux ont peur. Les hyènes n?aboient plus. Les éléphants s?apaisent. Les singes ne jouent plus et les oiseaux se taisent. Chacun dresse l?oreille. On n?entend plus un bruit, Car ce soir, le lion, n?a pas encore rugi. Il ne sait pas. Il ne sait plus. Ses forces l?ont quitté. Il devient vulnérable. Il n?est plus, comme avant, ce guerrier redoutable. Dans son regard d?acier, cette lueur terrible, Qui l?avait si longtemps rendu presque invincible, S?était évanouie. Hier, un jeune lion s?est approché du groupe, L?air menaçant, L?air conquérant. Opposant sa stature et sa crinière fauve Qui flottait dans le vent comme un grand étendard, Se dressant face à lui, le vieux lion avait rugi. Surpris, effarouché par cette volte-face, L?importun avait fui. Mais cependant, s?il eut fallu livrer bataille, Le vieux lion savait qu?il n?était plus de taille A se défendre comme avant. Ce matin sa lionne a lacéré son flanc, Puis elle l?a chassé de sa chaude tanière. Elle, qu?il avait toujours aimé avec passion, Elle qui si souvent demandait protection, L?expulsait à présent de sa vie quotidienne, Comme si, désormais, ce n?était plus la sienne. Désemparé, meurtri, il léchait ses blessures, Et au fond de son c?ur, ressentait la brûlure De ce bonheur perdu, qui fût jadis le sien. Personne encore ne sait que pour lui, l?hallali A retenti ce soir, et que tout est fini. Mais quand le jeune mâle, enhardi, va vouloir Usurper son pouvoir, Il devra en finir, Se battre, et puis mourir. Il s?en ira, vaincu, au pays des anciens. Il y retrouvera tous les vieux patriarches Qui, longtemps avant lui, ont régné sur son clan. Un jeune et beau lion dominera la meute. Il deviendra le Roi. Imposera sa loi. On oubliera bien vite qu?un autre chef s?est tu. On ne pensera plus au vieux lion déchu.
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zorgon | #21 19/01/2008 - 20h25 |
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alors puisqu'on peut partager des textes qu'on aime, en voici un d'un poète que j'aime bien !
Illusion On ourlait notre enfance à petits points de rêve à petits points d'espoir sans bien se rendre compte que l'habit terminé il serait trop petit pour une vie de peine il serait trop fragile pour les saisons cruelles il serait trop pesant pour les instants heureux il serait trop étroit pour le bonheur d'aimer. On cousait sans relâche pour une fête étrange qui n'est pas arrivée. Marie-France Voulot |
zorgon | #22 20/01/2008 - 16h35 |
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Marg | #23 02/02/2008 - 09h59 |
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il y a au creux de ma main un amour sans lendemain il y a au fond de mes yeux juste un éclair malheureux il y a là, dans mon coeur, le souvenir du bonheur il y a au détour de mes rêves une espérance qui s'achève il y a au creux de mes bras un vide qui ne se comble pas du brouillard dans mon âme je ne suis qu'une femme... tout va bien, je ne pense à rien tout est ok! mais qu'allez-vous penser! même si il y a dans ma vie tant de mélancolie. Malinconia
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Marg | #24 02/02/2008 - 10h03 |
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Dans les sombres reflets de mes regards furtifs je laisse entrevoir les secrets une sensation à peine effleurée tel un aveu contemplatif face à un irréel restant sacré tout n'est que songe un décor impalpable dans lequel je longe des couloirs insondables... Sophie K *** ainsi que: *** Dans les profondeurs abyssales des ténèbres opaques j'ai nourri mon âme dans le froid des vastes salles subissant les attaques de mille flammes j'ai parcouru les runes aux pouvoir maléfiques j'ai hurlé à la lune de visions fantastiques j'ai repu les yeux noirs faisant naître des ombres d'infâmes crétures revêtant l'habit sombre en d'étranges postures j'invoquais les démons Sophie K
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Marg | #25 03/02/2008 - 17h05 |
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Tu n'auras plus jamais peur de la nuit si tu me donnes la main aujourd'hui fais moi confiance, j'ouvrirais les portes ferme les yeux et je t'emporte!!! au délà de l'ennui, tu me suis jusque dans mes folies, mes défis, même en équilibre sur un fil qui danse comme des oiseaux libres qui s'élancent. suis moi dans les mondes imaginaires, on passera de l'ombre à la lumière, et pour que rien ne se fige je te suivrais juqu'au vertige!! loin des cris de violence qui résonnent passe le mur de silence, abandonne, pose tes pas sur mes traces de fièvre accroche-toi à mes rêves!!! on s'en va de l'ombre à la lumière suis moi jusqu'au bout de l'avenir dans le ciel d'espace où tout chavire de démons et merveilles! suis-moi jusqu'au soleil...! Carine
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Je visite... | #26 04/12/2019 - 20h53 |
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T'es la plus belle au débotté
ce qu'on appelle une beauté la naturelle sans sourciller... Nul besoin d'être maquillée ! Tu es sans fards tu es sans phare ne pas tromper, sur-éclairée pour effacer de tous tes traits les marques attrapées sur le tard. J'aime ta fraîcheur, telle une fleur qui jamais ne fane en immortelle à telle heure et tous tes pleurs ne font qu'arroser la diabletelle.
Alors: Fille ou garçon ? !
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Dickens | #27 18/02/2020 - 22h21 |
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Point du genre à tourne virer ou changer d'avis...
et j'affirme que trop se dolosent sans fin ni faim se désolent, lamentent, s'affligent: affligeant ! ils feignent la douleur alors que feignants: tous ne sont que belistres et boufarts ! je le dis. des fainéants voulant toujours manger et plus... qu'ils foloyent plutôt quitte à a seulement amourer: faites l'amour pas la guerre ! lieu commun si vrai. ainsi que des anguillomeux aux vils desseins... oui mes propos ne sont guère melliloques. ils manquent de douceur: le miel peut être fort ! mais ces serpents nourrissent de sales pensées. oui en vieux françois mes pensées passent mieux. sans être poétiques: ces propos ne sont que prose.
Dickens dit non aux Charles attend...
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zoe | #28 01/05/2020 - 17h46 |
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Tu n'auras plus à dire Adieu !
Tu ne seras plus tel un Dieu ! ...ne décideras plus mon vieux ...décéderas un jour pluvieux... Je t'interdis le soleil dans ta vie ! Je n'autorise plus le sel de l'avis ! Désormais je serai celle seule qui rit Déformée la vérité rétablie... Non Non Non Non mille fois "Non !" Honte à toi tyran de maison ! imposant tu étais par ton seul corps imposant ta loi par la force encore Maintenant est le droit à la parole Maintenant sous le joug était ton rôle L'esclave du harem s'est libérée... Ton crédit devant toutes est obéré. Gouinette... pas trop ! (be... what you want) |
Nope | #29 10/09/2020 - 23h12 |
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miss you vous allez me monkey
(singe d'une nuit d'était...) miss you allez me monkey beau cul ! mes singeries vous manqueront aussi je serai bien obligée de vous manquer car ma cible émouvante ne sera plus là mes songeries par contre les remplaceront je ne songe moi roi singe qu'à vous youhou ! le singe rit et je songe en pleurant: regrets mes âmes, coeur et corps sont morts: remords vous étiez ma liane folie, ma raison de vie vous étiez là déjà tout simplement et lasse hélas de moi: j'en ai tant commis ma fois... toujours en crise et là encore: de foi en toi miss you allez me manquer beau cou où j'aimais tant voler des baisers doux je ne me disais pas pourvu que ça dure ne pensant qu'au sexe pourvu qu'il soit dur la queue du singe ne sert plus qu'au tempo le battre et avec aussi chasser les mouches seules restantes avec moi non farouches il me manque tant le contact de ta peau ! tu étais la seule en vérité à m'aimer je me voyais beau fort etc à travers toi si tu savais à quel point me manquer ton monkey serait comme tu es mon toit. avec toi j'étais en sécurité: tout j'osais avec moi en insécurité, tout tu craignais tu n'étais pas le risée, j'étais et niais je sais qu'un fond de toi tout ça tu sais... miss you vous allez me monkey
Je souffrais de schizophrénie... nous sommes guéris !
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Lilith | #30 30/04/2022 - 07h48 |
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les zob à l'aube m'émerveillent...
tendus tels des arc ou arbalète, amère sève montant dans les tiges ou des torches flamboyantes épées je suis affamée qui la nuit veille... prête à sucer m'empaler, halète, vite avant que les ans me figent ! absorbons bouches, corps le suc épais.
Lilith, je suis l'élite des elfes noirs...
première épouse d'Adam ? Allez savoir ! #JeSuisMila #JeSuisCharlie #DeleteFacebook |
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2 sauvage(s) réçent(s): 1 Akélien(s) et 1 visiteur(s). ! (rémanence: hebdo à décade.)
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