3615 Akela

Ah la journée de merde que parfois vous ne voyez pas venir !
Pourtant cette tête de con qui vous a réveillé aux aurores en vous la souhaitant bonne: vous saviez au fond de vous qu'il fallait se méfier et qu'il pouvait se la mettre profond sa salutation.
Mais pris par l'habitude vous lui avez sans doute rendu le compliment.

Et puis tout s'est enchaîné comme le connard enchaîné et surtout déchaîné.

Déjà vous aviez prévu sans exagérer une grasse matinée, de traîner un peu au lit.
Mais vus les travaux dans le quartier pourtant confiné il parait, toutes les aller et venues, vous la sentez pas trop... vous le sentez plus trop.

Prémisses.

Et puis votre moitié qui prend plus de place que la moitié prétendue vous fait pour changer chier mais alors vraiment: c'est à ça qu'on les reconnait. les femmes.

Les animaux s'y mettent: vous savez plus trop non plus combien de jambes ou patte sils ont car vous comptez les gosses dedans tant ils sont bêtes et se conduisent pires que des bêtes.

Et tout va aller de travers. vous allez tout rater mais encore plus que d'habitude.
Tout va mal se combiner mais jusqu'au bout sans rattraper le coup à chaque fois comme toujours, jusqu'à présent.

Le temps va aussi se détraquer...

Tout ce qui était prévu ne se fera pas et tous les imprévus eux vont arriver !
dont les importuns, ceux que vous ne voulez absolument pas voir...
La totale.

rectal comme dirait l'autre car c'est bien profond.

et si vous l'aviez pas fait avant, le soir bien tard au lit, vous reconnaissez enfin que c'était une sacrée foutue journée de merde mais que ça ira mieux demain
indécrottable optimiste que vous êtes...
mais il n'y a aucune garantie ni reprise ni échange.
Pourquoi donc changer une formule qui perd ? !

Statistiquement la mienne ne devrait plus tarder là à arriver, revenir.
on croise les doigts ce qui n'est guère pratique pour tapoter le clavier.
qui jusqu'ici lui fonctionne encore tout comme l'ordi et internet: donc pas pour aujourd'hui semble t-il...

les journées de merde arrivent facilement par la grâce d ela loi des séries donc de l'emmerdement maximum: un malheur n'arrivant jamais seul !
en plus quand tu déconnes, tu fais pire après en tentant de rattraper le coup, pas le temps ça ne sert à rien.

la journée de merde type tu la commences soit en étant en retard et tu vas courir tout le temps après, soit parce que si par la force des habitudes rien ne 'est passé chez toi, en sortant ça va pas louper pour t'annoncer la couleur.
une merde, au propre ou au sale, ou au figuré, va te tomber dessus ou tu vas marcher dedans.
ou les deux: tu étais déjà en retard et la bagnole refuse de démarrer !
et là tu as la pensée qui te condamne à la damnation éternelle de tout le jour:
super j'ai une excuse pour mon retard, une vraie, une valable.

JAMAIS dire ou déjà penser un truc pareil ! JAMAIS.

et ensuite tout le reste va à vau l'eau et tu es noyé.
tu vas vouloir reprendre ta respiration pour tout ce qui va suivre...

accident d ela dépanneuse: vous la connaissiez pas celle là avouez !
elle se fait défoncer par l'arrière: là où est ton véhicule cul cul

dépose moteur par un garagiste qui enfant savait démonter mais pas remonter...

une nana te dépanne et prend dans sa voiture à un moment et elle crise
elle avait l'air normale, gentille, belle également: c'était pas normal
elle semblait peut être s'intéresser à toi c'est dire que ça allait couiller grave !
accident
tiens cette dépanneuse: sa société me dit quelque chose... un air de déjà vu.

tu sais pas que les 2 autos vont se retrouver ensemble à réparer: la sienne avec la tienne. oui elles passeront la nuit à deux au moins.

c'est toi qui accompagne aux urgence la dépanneuse: la femme t'ayant dépanné avant de devoir appeler la dépanneuse...

l'école appelle foutant en l'air l'idylle urgences: urgence ! une autre.
arrivée à l'hôpital: non retour. il y a déjà ta collègue paniquée pas niquée...
ta mère t'y accueille: comment es-tu déjà au courant pour ton père ? !

loi des séries je vous disais.

L'infirmière est une ex !
on passe sur la pipe dans un local tech-nique... en souvenir du bon vieux temps.
histoire de faire descendre les tensions de chacun.
elle t'en voudrait encore un peu qu'elle aurait eu une raison de te mordiller au passage... et de te pomper à mort façon pas loin douloureuse.

plus que tu le crois: ton porte feuille a disparu...
tu le retrouves dans la poubelle en y jetant le reste du sandwich vite avalé parce qu'avec tout ça tu as pas mangé ce midi !
vide sans photos ni argent: sympa.

la rayure sur la carrosserie de tes parents est du genre à refaire faire toute la peinture...
sortie joyeuse du C.H.

à la maison feu de poubelles devant ton garage: pas grave !
tu n'y a plus rien à mettre pour un moment
tes parents repartent, fausse alerte pour lui, migraine pour elle, ils ont refusé ton invitation polie

heureusement: tu es désormais propriétaire d'une villa "pieds dans l'eau !
fuite et inondation.

constat: ce que le temps peut passer à la fois vite et lentement à l'hosto
trop tard pour appeler un plombier là...

demain sera un autre jour !
on espère.
parce que comme les sols tu es lessivé.

la thalasso déjà à la base c'est pas rigolo surtout alimentairement...
mais quand tu tombes sur un connard connaissant déjà les lieux avec qui tu pars au bain de vapeur qui se gourre d'étage, t'emmène au sous-sol à la chaufferie, et que tu te retrouves coincé des heures avec ce gros puant poilu dans un local technique laissé ouvert par un nul et qui se referme mais ne peut se rouvrir qu'avec un badge...

que ta nana veut pas te croire car bien entendu tu as pas pris ton phone avec toi au sauna !
qu'elle te fait une scène longue comme ma bite et qu'en plus d'être tard toi énervé tu peux pas dormir avant qu'il soit l'heure de se réveiller et que tu as la dalle pas possible ça te rend encore plus fou !

que la nana qui te masse te masse te fais bander à mort donc après tu as les couilles qui te font un mal de chien et chaque jour après le massage un peu plus encore !
qu'en plus tu vas devoir faire ceinture parce que l'autre conne à la maison boude fait la grève et donc ne prend pas tes appels !

que tu attrapes la chiasse avec leurs légumes de merde trop de fibre que tu es irrité de partout dedans dehors

que quand tu sors de prison et en rentrant à la maison tu as pour tout commentaire quand elle desserre les dents: on voit que tu trop couru après toutes les nanas t'as efflanqué comme le chien lors des saillies !

moi j'appelle ça un séjour de merde.
payé très cher avant, pendant et après: à tempérament et pourtant j'en ai mais malheureusement ma nana aussi.
plus jamais ça.

Je pense battre pas mal de monde et tout le monde en vrai:

Le véhicule de fonction prêté et mal entretenu ou pas du tout refuse de démarrer.
Je préviens le boulot qui fait envoyer du dépannage, que je serai en retard mais je viens en prenant mon véhicule personnel neuf ça lui fera un rodage: Première sortie !

Vous remarquerez que ça commence déjà bien.

Accident en entrant sur l'autoroute: Un malade ne me laisse pas passer et m'éjecte dans les cordes ou donc la protection métal: les 2 côtés sont donc atteints.
Appel de la dépanneuse.
1 heure + tard: arrivée triomphante. ce con fait tût tut façon train ou bateau à vapeur...

Il charge et à peine démarré se fait avoir lui aussi à son tour sûrement parce considéré comme trop lent.
Dixit cet as: Atterrissage et décollage sont les plus délicats !
Merci de noter que ce qui était tracté; déporté brutalement venge méchamment la dépanneuse en tapant du cul le nez de l'attaquant: Faut le faire !

On doit donc dépanner la dépanneuse: rarissime ! exceptionnel ! déjà incroyable.

Une plus grosse dépanneuse arrive environ 2 heures après...
j'en suis  à mon énième appel tant au boulot que chez moi pour expliquer.

Nous avons un accident avec l'engin et avec le freinage d'urgence ma voiture s'en prend également. cette fois ci à l'avant contre la dépanneuse !
Les 4 faces sont atteintes: d'ores et déjà c'est une épave.

On reprend la route tant bien que mal avec une réparation d'urgence très lentement sans se rendre compte que derrière ça se dégrade... ça tourne mal...
Et ce sont pas les klaxons incessants qui nous renseignent ou alertent.
On sait que nous sommes lents !
On sait que ce sont 3 véhicules accidentés qui roulent !
On ne sait pas qu'une gerbe d'étincelle intermittente égaye et fait encore plus s'écarter tout le monde...  qu'au bout balloté ma voiture au réservoir plein à ras bord souffre et là à un moment une fumée noire s'élève et ça on voit:
Ma voiture a pris feu ! on peut dire qu'elle est morte à petit feu...

La police arrive à ce moment là, suivie par les pompiers.
Ce jour là je n'ai pas été travaillé.
Le lendemain fut passé à relater mes aventures / ma mésaventure.
Les collègues pissaient de rire, le patron lui moins.
Faut dire qu'entretemps le véhicule de fonction était lui aussi décédé: la dépanneuse en s'écartant pour laisser passer du véhicule d'urgence (que je suspecte être les miens, bien en amont, pas sur l'autoroute encore) l'avait décroché  et perdu dans des circonstances que certains qualifieront de comique:
il a atterri brutalement dans un garage y provoquant des dégâts monstrueux parce qu'en série... par miracle aucun employé n'a été blessé.

Le concessionnaire a eu un fou rire nerveux en apprenant surtout avec pas zéro kilomètre mais pas loin ajouté au peu, très peu du compteur.
ça marque j'ai quitté sa marque.
Le boulot aussi: je portais la poisse, on me regardait de travers.
Ce jour là un gros contrat a été perdu, en plus du contenu d'importance du coffre: je transportais des échantillons...
Et nous avons connu une panne informatique.

Heureusement que ce jour avait une fin.
Oh et puis on a racheté les cadeaux qu'on avait eu la bonne idée de planquer dans la voiture dont personne n'avait encore les clefs afin qu'ils ne soient pas trouvés par les enfants... Il m'étaient totalement sortis de la tête eux.
J'ai été aussi surpris que les soldats du feu quand ils les ont découverts, ce qu'il en restait.
Il parait que je suis célèbre aussi chez eux et chez les policiers comme chez les dépanneurs. à quoi ça tient !
Un jour peut être st patron de quelqu'un ou quelque chose qui sait...

Eh bien j'ai connu pire que le message précédent !
Il y a de quoi en faire un film, sans hésitation.
J'intitule ça "lockdown" ou la nuit de l'horreur, mais ça doit déjà exister...

ça se passe dans les années 2000 où on est encore jeune et pas encore adulte.
Où internet existe, la téléphonie mobile, plein de gadgets tendances et inutiles aussi...

Imaginez ma réalité de fils de riche temporaire parce que depuis divorce, déménagement: c'est loin tout ça donc je peux en parler.

quartier un peu à l'américaine, du moins l'image que j'en ai, cossu ou pire.
que des grosses baraques, aucune mitoyenne, toutes avec grand jardin.

la mienne est si grande que j'ai invité genre une petite centaine de joueurs
en réalité moins qui sont répartis sur 13 tables et ça ne va pas nous porter bonheur
la salle de bain en marbre est si vaste qu'on peut y jouer dedans à l'aise !
la cuisine aussi et la salle à manger et le salon et les chambres, la cave et le(s) greniers(s)
Une seule pièce interdite car inaccessible: le bureau de notre père... Amen.

Oui notre avec ma soeur Diane, elle aussi akélienne je ne sais trop sous quels pseudos.
Elle n'est pas concernée ce soir là, chez des amies, mes parents sont eux aussi de sortie.

chaque MJ et équipe de joueurs est responsable de chaque pièce inventoriée !
on ne déconne pas: pas de frigo ni armoire pillées ou fouillées ou abîmées !

Soudain le signal d'alarme se déclenche, ça lui arrive, rarement, ça tombe mal.
Je dois répondre absolument au service de télé surveillance et donner le code donc un ami fait le tour pour prévenir tout le monde, également d'être silencieux.
Oui je sais la maison n'était pas censée être occupée ce soir là !
Et je sais aussi que mes parents ont été prévenus, qu'ils vont être appelés et ensuite me rappeler et me passer un savon...
J'arrive à leur faire croire que je suis avec un pote, voix masculine à l'appui, "oh bonjour Truc, je sais que vous êtes un garçon sérieux ,je vous fais confiance etc... Oui madame... Promis madame ! Je te passe ton père..."
Qui n'est pas mon père mais mon beau père et qui avale difficilement le coup des révisions à cette période de l'année automne/hiver.

Un véhicule prend ensuite feu à l'extérieur les pompiers interviennent.
Tour des maisons: à qui donc appartient ladite voiture incendiée ? !
ça se corse là...

Re Alarme: "Vous êtes bien le propriétaire ou son fils, de la maison ?"
"Oui monsieur !"
La police arrive et pas moyen de l'empêcher de rentrer.
Appel de la sécurité. ils envoient une équipe.
J'ai chez moi pompiers, police et sécurité.
Je tente d'expliquer aux parents, la sécurité explique qu'il y a plein de monde
Non c'est pas une party mais des tables de révision ! si tu la crois pas celle là.
"Oui madame en effet ils sont tous en équipe autour de tables et semblent réviser !" pas futé mais pas menteur le gars, pas policier non plus hein !
Et là, comme si ça ne pouvait pas être pire... alors que ça se clamait et s'arrangeait.

Lockdown.

La maison est mise en blocage de tous ses accès.
Bloquant tous les accès intérieurs et extérieurs, police, pompier et sécurité avec nous !
Et les seuls pouvant lever ça ne sont plus joignables: les parents sont passés en zone blanche pour gagner le coin reculé de leur retraite de week-end...

Et là je me pose une question: Comment ça a pu être déclenché ? !
C'est pas automatique et ça ne peut se faire que de la panic room, inaccessible sans les codes et surtout depuis le bureau (et la suite parentale, par un passage dérobé ou secret oui ça le fait les riches...)

En tous les cas nous voilà dans une situation de crise. car ça crise, ça hurle ça gueule.
Le courant est coupé partout les lumières s'éteignent comme le chauffage.
La maison et ses pièces sont des cages de Faraday: rien ne sort ni entre et il y a un brouiller entré en action.
Les flics, pompiers et la sécurité ne peuvent joindre personne...
C'est l'horreur !

Et là l'alarme incendie se déclenche !
Un con a du fumer ou allumer son briquet et dans plus d'une pièce car l'eau se déverse absolument partout, l'alarme est générale: je l'entends !

Les pompiers attaquent une porte fenêtre extérieure à la hachette.

Les gens tapent aux vitres dans toutes les autres pièces !

On a un pompier de génie qui casse une vitre pour passer sa main et tenter d'ouvrir de l'intérieur !
il croit que les gens n'ont pas essayé avant lui ? !
et il achève un passage en bas de la porte fenêtre pour que les gens sortent.

"Vous restez là !" hurlent les policiers qui ont eux aussi réussit à sortir !
"J'ai toujours pas de signal !" le blocage est aussi effectif dehors avec le brouilleur
"Et c'est quoi ça ? !"
Un flic a remarqué une trace d'effraction extérieure de la porte du grand garage !
qui n'y était pas à leur arrivée ils avaient vérifié: ils étaient aussi là pour ça.
ils entrent armes au poing et il y a eu de la casse.
"Là dehors ! à terre !"
quelqu'un a perdu des objets volés en fuyant !
Une ombre !
"Halte ou je fais feu !" Tir de somation.
Tu parles qu'ils s'arrête et saute chez les voisins...

Là 2 choses se passent.
1) les voisins de l'arrière non encore alertés eux par l'arrivée des pompiers commencent à réagir après un coup de feu
2) les alarmes se déclenchent aussi successivement chez plusieurs avec le passage du fuyard des chiens aboient...
Le bordel généralisé à l'ensemble du quartier !

Revenons juste un peu an arrière:
Ma soeur a ramené des copines à la maison en douce et elles voient avec horreur débarquer des hordes mecs inconnus
Elles gagnent la chambre des parents puis le bureau puis la panic room au sous-sol sous le grand garage hors de porté de détection même si tu mesures les volumes...
Une d'entre elle déclenche le lock down lorsqu'elles s'esquivent par le tunnel menant à la fosse de réparation ou dépannage des véhicules dans le petit garage et partent par la fuite prévue à l'arrière dans les bosquets, invisibles...

Là bas le petit véhicule de secours discret les attend et elles se barrent d'autant plus qu'un coup de feu se fait entendre !
Elles filent juste avant que tout le quartier ne devienne fou...
Elle ne rentrera seule que bien après en disantg:
"Mais c'est quoi tout ce bordel ? !" en gagnant la maison
"Mais c'est quoi tous ces gens ? !" en passant devant la maison
Pour aller garer à l'arrière dans l'annexe et remonter jusqu'à une baraque dévastée.
Ce qu'elle verra en arrivant à déco le lockdown.

Pour elle c'est pas terminé.
"Tu nous présente ta meuf ? !"
"pas ma meuf , ma soeur !"
"Oh merde ! je la reconnais ! oh fais chier: c'était sa chambre alors ? !"
Ma soeur: Quoi ma chambre ? ne me dit pas que tu as..." le reste se perd en courant...
Elle rentre et sur tous les écrans de la maison et qui sont nombreux elle voit sa chatte affichée en gros plan !
Le merdeux de joueur geek a piraté son ordi pour tenter de se connecter et avertir être bloqué dans une maison folle...
Et en mettant fin au lock down, tout s'est déversé dans le réseau interne mais également externe, sur internet...

Donc oui elle a changé d'école et de look, nous avons déménagé, sommes partis loin
et l'engueulade des parents à leur retour ne vaut rien à côté de leur tête en plein jour devant l'état de la maison !

et des tas de questions demeurent:
qui comment et pourquoi a t-on pété le piano à la hachette ? !
pourquoi quelqu'un a t'il maculé de merde un tableau de prix ? !
qu'est ce qui a pu prendre à la personne qui a tenté d'essuyer des besoins avec des vêtements de luxe ? !
Pourquoi avoir rempli le sauna ainsi que le jacuzzi avec des éléments du mobilier ?
Qui et quand a forcé la cave des grands crus et millésimes ? !
Qui étaient ces cambrioleurs qui ont pris tous les souvenirs et restes du déménagement non encore ouvert au garage donc les vidéos intimes du couple ? !

J'ai pas ou peu de réponses à vrai dire. La police non plus après avoir tenté de reconstituer les faits et trouver les responsables.
J'ai été privé de sorties et d'argent de poche pendant des années, jusqu'à ce que je parte du foyer en fait.
Ma soeur et moi n'avons toujours pas été pardonnés.
Et je ne la regarde plus comme ma soeur depuis que j'ai vu ses tofs privées et ses vidéos dans lesquelles elle hurle mon prénom en se foutant des trucs dans la teucha... sûrement un homonyme mais j'en connais aucun autre que moi avec ce prénom dans nos entourages y compris étudiants.

Pour le jeu ma pire journée fut ma première !
un carnet noir à elle toute seule... jour d'essais et décès tiens !

des jours, au moins une semaine, un peu plus, à peaufiner le personnage: mon premier.
un pré jeu pour acquérir de l'expérience. training day en quelque sorte pour essayer toutes mes compétences, prendre mes marques.

Je commence le jeu à peine: il meurt au premier round du premier combat.
pas de pot.

je me retrouve mise à l'écart pour en refaire un, plus vite car habitude.
j'en prends un tout autre car dégoûtée mais compatible avec l'équipe d'aventuriers et le scénario.

je rentre après une pause, mon perso est introduit habilement dans la quête.
Et en rentrant dans la baraque d'un PNJ présumé sorcier, je passe à la trappe et fumble un autre de perdu mort.
c'est une blague ? !
ben non puisque là à la demande du MJ en plus donc...

Je retire un tout autre perso, pour la partie suivante. ça me fait chier, j'ai plus envie de jouer. ça m'énerve.
Je démarre donc une nouvelle aventure.
et là le sort s'acharne sur moi durant toute la partie: je rate tous mes jets de dés.
donc l'équipe s'éloigne de moi tant je porte la poisse.
et du coup devinez ce qui va m'arriver ? !
je reperds un personnage dans le repère des gobs qui m'enlèvent et me bouffent.

Là j'essaye un autre jeu, une autre table, un truc vite fait, plus role play.
adieux les donjons et les dragons tout ça.
et une chance sur combien 100.000 ou 1 million ? !
à Cthulhu mon personnage vois un monstre du chaos et devient fou: perdu définitivement, en tous les cas la raison.

Lasse je descends pour je sais pas boire un truc manger un morceau, reprendre mes affaires et je me pète t"y pas la gueule dans l'escalier !
Je me fais très mal. Mon jeans ne permet pas de soigner, je dois l'ôter et montrer aux joueurs ma petite culotte de gamine... je suis plus rouge de honte et blessée comme ça que ma cheville n'est enflée.
Je glisse du siège et je fous mon pied dans l'entre jambe du MJ qui m'avait initié et amenée, préparée et tentant de me soigner, soulager !
Pour m'apercevoir qu'il avait une sacrée gaule d'être accroupi entre mes jambes devant moi...

il sait que j'ai senti, il a un mal de chien.
il trouve la force de plaisanter: moi j'enlève pas mon pantalon pour me faire soigner !
je le regarde un peu de travers du coup... mais je lui demande de m'excuser.
précision ridicule de ma part: je l'ai pas fait exprès !
Encore heureux !
J'ai failli m'évanouir quand mon pied est parti parce qu'ensuite à la cheville j'ai senti juste après le reste un élancement, jai vu un flash dites donc.

J'ai terminé à l'hôpital en ressortant sans froc avec ce qu'ils m'avaient mis en bas plus rien ne passait: là que tu es contentes d'être une fille et pouvoir mettre des jupes ou robes !

Et j'ai jamais retrouvé mon sac à dos avec mes affaires: perdu ? volé ?

Je crois que comme première expérience on a pas trop pire non ? !

Mon chevalier servant a fini par devoir me rendre visite pour m'apporter mes devoirs; bien obligé.
gêne mutuelle.
ma mère qui en rajoutait avec ses commentaires à la con divers...
sur le fait qu'on lui devait ce qui m'était arrivé !
en terminant par un "tu m'avais pas dit qu'il était aussi mignon ! Sinon je t'aurais pas laissée partir avec !"
et moi qui enchaîne alors qu'elle est sortie par un "et tes couilles ça va mieux ? !"
appuyé d'un "tu es capable de bander à nouveau maintenant ? !"
En partant il m'a fait la bise et m'a chuchoté: "quand je te vois je bande toujours !"
profitant qu'avec ma mère à nouveau présente pour le raccompagner je ne pouvais rien répondre.

curieuse expérience.
nous deux ça a fini par se faire mais chaotique !

Oui et tout cela explique que rapidement j'ai compris de quel côté j'étais !
parce que j'ai pas abandonné, j'ai simplement ré orienté.

ma pire journée fut de merde et de jeu car coincée dans un ascenseur toute la journée sans pouvoir aller pisser !

avec 3 mecs et un jeu de cartes...
un peu particulier.

surtout quand ça a lâché, que j'ai hurlé, que l'on s'est retouvés coincés un peu plus bas au sous-sol à côté de la chaufferie.

Soudain j'ai compris pourquoi il y faisait toujours aussi chaud dans cet ascenseur et bon l'hiver !
par contre à supporter des heures là ça va pas.

les mecs se déloquaient... moi moins.

leurs regards se faisaient de plus en plus insistants. si je peux dire pénétrants.
je voyais l'état dans lequel ils se trouvaient.

au pire moment de tension, quand j'ai cru passer à la casserole pour tout dire, heureusement l'un d'entre eux a lâché un pet ce qui a détendu l'atmosphère.

il y a eu contact mais pas comme attendu: quand on est assis tous les 4 chacun sur un côté en jouant aux cartes, les jambes s'entremêlent et c'est le seul endroit où c'est encore supportable.

au sauvetage je suis passée la première en demandant suppliant de ne pas m'appuyer sur la vessie !
résultat j'ai été tripotée pétrie tâtée mais alors bien au cul et à la chatte comme jamais de ma vie derrière pendant que les pompiers me tiraient...
no comment.

j'ai débarqué dans le hall seins nus débraillée car le soutif n'a pas résisté mais je m'en foutais: j'ai couru uriner dans la cour ou le jardin je sais pas trop.
le meilleur pipi de ma vie !
long mais long !
bon mais bon !

et après seulement j'ai rentré la marchandise !
mais j'ai du extraire le string, presque le décoller. j'avais pas pu l'ôter évidemment.
si j'avais été en jupe ou robe pas en jeans c'était pas la peine, ça n'aurait jamais tenu avant ni après lors du sauvetage.

je suis sortie j'avais les phones de tous les mecs sans exception !
ce sont des fous les gars ! et y'a aucun pompier marié bien sûr.
j'ai rappelé que celui qui avait noté sur une de mes cartes: la dame de coeur...
un vrai célibataire et gentleman qui m'avait sauvé la mise.

houla !
vous donnez dans le long vous autres là !

alors nous ça a été très simple:
y'a un con parmi les joueurs qui a déclenché la fermeture des volets électriques
nous étions garés à l'avant tous serrés les uns contre les autres dont un, lui comme par hasard contre le volet de la porte d'entrée, bloquée du coup en ouverture !

tout se passait à l'arrière et trop sollicité à ce moment là l'électricité à lâché en fin de descente des fermetures pour ne jamais se rétablir !
plus de réseau ou pas car déjà...

il restait l'étage ?
ah non pas d'étage.
un soupirail de la cave ?
ah non pas à montmirail pas de ça chez nous...

donc ?
bloqués en fin de partie et ce durant des heures à tuer elles aussi

ma pire journée de merde et pas qu'à moi, fut la fin d'une soirée de jeu

on a du se résoudre à péter une fenêtre elle pas trop en verre sécurit il a fallu des heures, puis le volet puis réussir à passer...

Ah moi faut que je vous raconte la mienne !
incroyable mais malheureusement vrai.
la saga du démon...

la partie maudite. toute une journée de doutes, peurs, suspicions réciproques.
une ambiance pourrie.
des mystères de la chambre jaune: la couleur en fut bien choisie pour cette pièce !

nous nous étions préparés et équipés pour affronter une campagne à la campagne
nous étions prêts à tout, le pensions nous, excepté ça.
nos repas, des encas, des boissons fraîches de préférence mais également chaude pour la nuit et rien que le café pour tenir...
du matos complet afin de parer à toute situation.

tableau effaçable et ardoises avec crayons et craies couleur
figurines, maquettes, papier dessin... tout.

et pourtant les ratages s'enchaînèrent et déchaînèrent (et dégénérèrent)
les oublis ou pertes et ce qui devint rapidement une évidence des disparitions non expliquées donc bien des vols !

la disparition de la totalité des dès plongea tout le monde dans l'embarras et le trouble le plus complet
comme celle des têtes de toutes les figurines alors que nous étions tous à la recherche des dès et personne dans cette pièce !

cela correspondait au scénario mais la preuve avait disparu car des pages elles aussi y manquaient !


jusqu'à ce qu'on surprenne ce petit merdeux de jaloux introduit et planqué là !
et qu'il nous avoue avoir tout foutu dans le sol ! oui le plancher ! par un orifice...

là grosse bagarre notamment du joueur aux dés fétiches.
et destruction partielle dudit plancher en bois grâce à la promesse d'un fils de mec du métier ou capable de remettre.

et là on tombe sur quoi: des cadavres !
après coup pas d'humains mais d'animaux.
quand même ça l'a mal foutu.
la gendarmerie a été appelée et a débarqué avec un mec costaud qui nous regardait d'un air méfiant et nous suspectait de manière évidente et délibérée...

On vivait avec et au dessus de morts. un cimetière. on a pas compris.
ils dataient pas d'une époque identique et étaient partis naturellement ils n'avaient pas été tués.
ça a soulagé aussi après avoir appris que non humains.
certains avaient cru reconnaître du bébé...

donc au final un "super" souvenir mais à vivre c'était atroce de bout en bout.

surtout qu'une invasion d'animaux vivants à suivi: des fourmis !
ce petit con avait aussi planqué pas mal de notre bouffe mais il l'avait oublié ça !
nous on avait cru qu'il avait tout bouffé ce petit con.

quelle galère !
et je vous dis pas l'état du plancher après le passage de la marée chaussée de grosses godasses militaires ou bottes et de quoi tout péter pour regarder et sonder partout après !

on a pas pu rejouer de sitôt !

Je viens vous narrez pour vous faire marrer
la véritable version c'est à dire la complète
d'une histoire légendaire, celle de la partouze.
Vous allez me dire: Quel rapport avec le JDR ? !
J'y viens: Suffit de tout lire et entre les lignes
pour s'apercevoir qu'il s'agit d'un jeu de rôle,
grandeur nature, avec doubles jeux pour quels rôles !

Version 1: connue de tout le monde.
Un déguisé en complet de velours bleu marine débarque en la cité minière...
Il cherche son chemin qu'il demande à plusieurs reprises importunant et attirant l'attention.
Arrivé presque à terme il s'adresse à un jardinier en ces termes:
"Msieur est-ce que c'est bien ici la partouze ? !"
"La quoi ? !" demande l'intéressé qui ne comprend pas.
Et le jeune homme endimanché tentant d'expliquer qu'ils vont baiser une certaine...
et là de lui sortir le prénom et nom de la fille de ce dernier ! En plus ce con parle trop fort.

Un hurlement sauvage, puis des cris répétés et les voisins voient s'enfuir le bleu blanc rouge sang
sous les coups et insultes répétés de l'indigné qui refuse de lâcher prise et va le poursuivre longtemps.

Version 1 bis:
En rentrant chez lui un bon bout de temps après le père ne trouve ni sa fille ni ses amis mais un mot:
Ils ont du se rendre ailleurs par manque de certains matériels pour jouer leur partie de jeu de rôle.
Elle n'a pas pu lui demander la permission car ne l'a pas trouvé dans le jardin.
Mais elle part chez unetelle et une autre amie, filles du proviseur et d'un riche,
familles très respectables donc rassuré: Mais elle ne perd rien pour attendre...

Il se renseigne auprès des voisins qui ont vu arriver 2 autres gars juste après:
la scène dont tout le monde est en train de parler dans toute la cité, de sa crise, de la poursuite...
Il doit s'expliquer, se justifier, ce qui achève de l'énerver au plus haut point. Du coup il boit: ça empire.
Il n'a toujours pas compris en plus ce que c'était ce "jeu de rôle": ça sent mauvais et la fausse excuse?
Surtout que tout le monde est ressorti en s'égayant dans des directions différentes: Pas logique du tout ça...


Version 2: "le coup monté" (cas de le dire) Le coup d'AVANT
Donc à l'école un gars l'a approché pour lui demander s'il venait à la partouze !
"La quoi ? !" Le benêt ignore totalement ce que c'est on va donc lui expliquer... en détails et croustillants.
En détails, le rendant fou, il y a sera et bien habillé, ce samedi après-midi à 14 heures précises absolument.
et à l'adresse indiquée à laquelle il va devoir se rendre en bus car un peu loin pour lui cet endroit inconnu.

Le coup d'APRES:
Lundi avant 9 heures:
Blessé aussi dans son orgueil, il somme de s'expliquer l'informateur qui confirme et le traite de dément:
Il ne fallait évidemment pas passer par devant et en parler aux parents ! Franchement stupide d'avoir fait ça.
Et que l'excuse était une partie de jeu de rôle pour jambes en l'air: On lui explique aussi ce que c'est.
Lui est troublé par cette autre diversion avant d'être achevé par des interventions d'autres délégués des élèves:
Un autre élève se joint à lui pour confirmer que la partouze s'est bien déroulée comme prévue et mieux encore :
Un 3ème et dernier précise être arrivé et qu'il n'y avait personne dans le jardin, facilitant les choses,
donc qu'il n'a pas eu besoin d'entrer par derrière et il comprend pourquoi du coup... Merci beaucoup !

Tout le monde vient à s'étonner qu'entre carte scolaire et surtout ses grands airs, ses dépenses ostentatoires,
elle puisse résider en cette cité minière alors que tous sont en lycée privé payant plutôt loin de là: étrange.


Version 3: Les suites* and love (*sweet)
Le débile bleu de chez bleu pas seulement puceau mais débarquant ignorant en tout domaine et va s'excuser,
comme conseillé, auprès de la fille du jardinier pour sa mésaventure de samedi après-midi 14 heures précises,
qui l'a empêché de "venir la baiser comme les autres" (sic) Elle le regarde comme un fou, ne comprenant pas,
puis un déclic se produit: "C'est toi le con qui a été raconter n'importe quoi à mon père ? ! Espèce de..."
Puis enchaîne avant de se déchaîner: "à cause de toi j'ai pas pu sortir samedi soir... Il m'a traitée de p..."
Et là les élèves, professeur, personnel voient passer une furie poursuivant un élève boitillant, suppliant et
et à la joue toute rouge qui se prend des coups de tout ce qu'elle peut trouver sur son chemin en vraie vandale.


Version 4: Bureau du proviseur.
Toute l'affaire éclate au grand jour car tout le bahut est déjà au courant pour cette histoire de partouze.
Les deux élèves sont renvoyés chez eux une journée et leurs parents respectifs convoqués par un proviseur excédé.
Un conseil de discipline est programmé de toutes les façons car cela a d'ores et déjà été beaucoup trop loin...

Le proviseur est très inquiet car cette élève modèle est non seulement un ange, de vertu et une informatrice côté filles.
Il contacte son fiston et son meilleur ami ou la balance côté garçons pour en savoir plus sur cette sombre affaire...
Ceux ci sont plutôt embêtés car ce sont eux qui se sont rendus chez elle samedi après-midi en fait ! (après départ du père)
Pour en revenir avec elle tandis que toute le reste de la table repartait chez eux: partie annulée. Ils sont plutôt mal.

Loin de revenir sur leurs dires, les trois arnaqueurs du benêt confirment leurs propos et les étayent. Ils contestent.
Leurs versions correspondent en tout point et se recoupent. Ils ne comprennent pas ce qu'ils font là. Ils protestent.
Ni pourquoi ils ont été envoyés dans le bureau du proviseur devant tous leurs camarades eux aussi étonnés. Ils pestent.
ils sont délégués des élèves pour les trois classes concernées, celle de la fille, du fils, et de son pote qu'ils détestent.

Quand il y reçoit le père-jardinier celui ci est furieux, confronté à sa fille et au provocateur,
il perd son sang-froid et gifle sa fille qui tente d'étrangler le jeune homme expliquant la/sa vérité...
selon lui au père et que la partouze a bien eu lieu et que d'autres avaient pu se joindre à eux grâce à lui
qui avait éloigné le garde devant la maison en précisant que donc qu'elle avait pu hurler "comme une chienne" à loisir !

Cela se passe si mal que le personnel est contraint d'intervenir pour aider à séparer: un vrai pugilat.
Certains professeurs parvenus depuis leur salle proche se retrouvent blessés, des arrêts de travail et
les syndicats font que les élèves sont renvoyés 3 jours et le père interdit d'accès à l'établissement.


Version 5: Tract et lettre anonymes. Photos volées non voilées.
Du tract circule dans l'enceinte et perturbent les cours et les élèves: Avec 3 mises en accusation.
La furie, le fils du proviseur et son pote la balance avec leurs rôles précisés pour le fameux samedi.
Une lettre anonyme parvient à l'office des logements miniers pour y dénoncer l'occupation illégitime
d'une maison des mines alors que le locataire à titre gratuit ou pour un loyer modique symbolique est
en réalité propriétaire d'une maison en ville qu'il loue en couvrant le montant du prêt et peut mettre
de plus ainsi au collège/lycée du coin, réputé et privé-payant sa fille qui réside ailleurs avec lui...
Copie de ladite lettre parvient au proviseur avec en plus des polaroid montrant les 3 du tract tous nus.


Version 6: dénouement et explications. ("jeu de rôles")
Le père met sa fille en pension en Belgique ou sur la côté ou les deux, je ne sais plus trop, peu importe.
Il est viré juste après de son logement et les loyers lui sont réclamés avec des arriérés conséquents...
Sa maison est mise en vente: Il doit déménager suite aux scandales pour sa fille et lui. On ne sait pas où.

Le fils du proviseur et son copain ne passent pas en conseil de discipline car ils sont changés d'école...
Le benêt est réhabilité: Il a dit la vérité, a été abusé, trompé et est bien la victime en cette histoire.
Ses parents et lui reçoivent les excuses du proviseur au nom de tous, personnel et corps enseignant, élèves.
Le proviseur se permet une petite pique aux parents leur demandant d'expliquer le minimum des choses au fiston.

Les 3 délégués triomphent et fêtent leur réussite totale car ils se sont débarrassés des 3 poisons de l'école !
Leur jeu de rôle grandeur nature a fonctionné à merveille au delà des espérances avec un concours involontaire.
Le 4ème mousquetaire "dard-tagnan" va être récompensé: déniaisé comme il se doit en compensation de ses services.
Son comportement par la suite et ses résultats feront douter de ses limitations et innocence: Qui sait vraiment ? !

Ce soir là des démons jouent à un jeu de rôle des mortels...

partie de merde.

si vous ne connaissez pas le film "une baraque à tout casser" avec Tom Hanks: surtout visionnez le !

pour nous un film d'horreur car tout s'est pété peu à peu tout au long de la soirée dans cette maison prise pour l'ambiance...
ça a terminé avec les pompiers intervenant sur un début d'incendie.

et nous n'avons strictement rien fait, pour une fois, ça s'est détraqué tout seul !
loi des séries.

une soirée et partie de merde.

ah question de mise en situation ça y allait pour un VRS (Vade Retro Satanas)
la maison était pourrie. nous c'était pour rire...

et on avait de la compagnie niveau bestioles pour reprendre le terme de la rubrique correspondante du site.

la totale !

un jour je me gare en vitesse après avoir raté plusieurs places fauchées par des gens malhonnêtes ne vous laissant pas faire votre manoeuvre...
du coup impossible de me souvenir où j'ai bien pu la mettre.
je ne la retrouve pas où je pensais l'avoir mise.

je reçois chez moi un avis de mise en fourrière pour avoir occupé une place réservée, je vais voir: jamais je ne me suis garé là !
en allant rechercher mon véhicule, je paye, et là une épave !
défoncée, brisée car un enculé l'a poussée à mort où elle gênait et a été enlevée !

je dois payer pour la faire déplacer et elle finit à la casse !

l'assureur refuse de me rembourser sinon que comme épave, rien.

je perds mon boulot d'alors car absolu besoin d'une bagnole.

et je m'aperçois au final que chaque fois c'est le même jour du mois qu'arrivent toutes les merdes associées à ça: le 13 !

mon beau père me prend en grippe car le véhicule était le sien à la base et il y tenait...
etc etc etc

donc une journée de merde pour avoir garé où je n'aurais pas du mon véhicule, une journée marquée d'un chiffre "porte malheur"

Ce qui est formidable avec les réseaux c'est qu'il suffit de les parcourir surtout Facebook pour constater la vie de merde des gens !
surtout si illustrée par des natures mortes de moments inoubliables dont les repas pris et achats faits, pur triste constat matérialiste...
il y a aussi les non encore mortes appelées selfies de "selfish" en anglais ou égoïste en français, ces autoportraits autocentrés sur soi même et qui sont absolument sans aucun intérêt ni contenu excepté le con tenu par le smartphone.